Let's play

Invité

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[i][color=#8db3e2]Le passé est un miroir brisé. On se coupe en voulant le reconstituée. D’habitude j’évite de me plonger dans le passé car cela me rappelle des mauvais souvenirs. Je suis pourtant une personne adulte, je devrais reculer vers le passé et me morfondre sur mon sort. Non moi je ne me penche ni vers le future ni vers l’avenir comme le font les enfants. Je ne me penche que sur mon présent, car pour moi c’est la seule solution possible pour m’en sortir. Notre vie est comme chemin déjà tracé, on marche pour s’en sortir. On marche pour pleurer, pour tomber amoureux. Mais moi j’ai pris chemin je marche pour rencontrer des mains d’une grande beauté et tuer lors socle pour m’en emparer. Malheureusement pour moi c’est d’une tristesse quand elle se flétrit. Je ressens une grande tristesse car pour moi elles sont comme des êtres humains. Donc me voila dans la forêt de Karakura pour méditer car mon don m’a permit de m’aider avantageusement dans ma quête des mains mais depuis ce jours. J’ais pu voir des monstre donc je suis le seul à pouvoir les voir. J’ai réussi a les tuer grâce a mon pouvoir. Il ne me reste plus que cet endroit discret pour m’entrainer avec mon fleuret quand tout à coup j’entendis un bruit dans mon dos et me retourna l’un de ces monstres qui plongeait vers moi. Je l’avais déjà rencontré et je connaissais son point faible lorsqu’il plongeait, il fallait glisser sous lui et lui enfoncer mon épée dans sa gorge. Résultat : Un monstre vite fait de battues et moi qui reprend ma méditation.

« Il est triste de voir a quel les humain sont si proches de ces monstre »

C’est sur ses phrase que je me relevais et commença a rentrait a chez moi. Je me rappelai alors de ce que j’avais fait avant de venir en cet endroit. Pour la 1^er fois j’allais revenir dans la maison familiale ou mon beau-père me battait pendant que ma mère allait faire la fête. Pour quoi je m’étais rendu dans cet endroit noir de désespoir ? Mes oncle n’avait pas poussé trop vite pourtant et je n’ais pas trouver de chiffre 4. C’est que depuis un certains il ya un petit démon qui me souffle a l’oreille me disant de tuer cette homme et ce qui devait arriver-arriva et cet ainsi que pendant que je repensait a ces souvenirs joyeux je bouscula une personne.

« Excusez-moi »

Mon dieu ses mains, elles sont magnifique je les veux. Je sortis mon fleuret et commença a l’attaquer mais la personne esquiva. Serais-je devant un adversaire ou je pourrais déployer toute mes ressources et je sentais en lui une sorte de pression. Fou de joie. Je laissais une sorte de puissance s’exprimer a son comble.

« Nous allons jouer veux-tu ?»

Petit jogging bleu clair, les cheveux noués tant bien que mal à l'arrière, et c'est parti ! Orihime devait entretenir sa forme, alors un peu de course à pied était parfait (surtout qu'elle avait fini un pot entier de glace au chocolat la veille, il fallait à tout prix éliminer tout ça. Elle irait donc en courant à petites foulées jusqu'à la forêt de Karakura où se trouvait un parcours de santé pas trop difficile. Tatsuki devrait la rejoindre d'ici une bonne heure, après qu'elle eut terminé les éliminatoires du championnat d'arts martiaux inter-lycées. Qu'elle allait reporter haut la main, comme d'habitude. Elle était si forte, Tatsuki. Et elle avait appris tellement de choses à Orihime, comme de se battre à main nue. Tout en courant, elle donnait des coups de poing dans le vide, un peu comme si elle était une boxeuse professionnelle faisant son entrainement quotidien. Certains rigolaient en la voyant faire, d'autres étaient admiratifs car elle avait du courage de faire de l'exercice, d'autres étaient admiratifs...sur un autre plan.

Orihime se mit à réfléchir que si elle courait trop lentement, elle risquait de ne pas pouvoir faire le parcours de santé avec Tatsuki car elle n'aurait pas eu le temps de se ressourcer un peu. Aussi elle décida de prendre la tangente et emprunta un raccourci. Elle rata quelque peu son virage et bouscula au passage un homme blond, assez distingué qui s'excusa immédiatement. Orihime, le visage rouge, laissait apercevoir sa propre confusion et n'arrêta pas de présenter ses excuses, c'était de la faute, elle espérait de pas lui avoir fait mal, ectétérat. Cependant, cet homme ne la regardait pas dans les yeux pendant qu'elle déblatarait. Il fixait les mains de la jeune fille. Très naive, la jeune fille le remarqua mais n'en pensait rien (elle ne comprenait déjà pas en quoi le fait qu'on regarde sa poitrine soit une preuve de perversité).

La réaction de l'homme fut inattendue (c'est un euphémisme). Il sortit d'on ne sait où (en fait probablement de quelque part, peut être avait-il un bras bionique, ou une boite à malice ?) une sorte d'épée toute légère qu'on utilise en escrime. La fleur ? Le fleuriste ? Non, le fleuret. Une arme légère, mais ne soyons pas imprudents : elle coupe aussi bien, voire mieux qu'un couteau à beurre. Si, elle l'avait vu dans un film de cape et d'épée.
Interrompue dans ses pensées psychiédéliques par le coup d'épée de l'inconnu, Orihime sauta sur le côté (vive l'expérience prise à la Soul Society et à l'aide de Urahara-san, Yoruichi-sama et Hiroki-kun. Complètement ahurie, elle ouvrait de grands yeux surpris et répondit avec empressement.

- Je suis désolée, Monsieur, mais je suis attendue et je ne peux pas jouer, mais je vous remercie, vous m'avez bien amusée !

Elle se mit à rire, gênée, en se grattant la tête. Peut-être que c'était juste un artiste de rue qui voulait faire un tour de magie. Orihime, petite parano, il n'y a pas que des gens méchants et des hollows à tous les coins de rue !