Aaaaaaah !!! Elles sont ou mes clopes ? [Pv : Papy-man]

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Ahhhhhh .... la pêche .... Quel loisir divinement sympathique, surtout quand une jeune et belle femme, qui au final fait partie de toi, t'accompagne. Il parait que les esprits des zanpakuto sont le reflets de l'âme de leurs propriétaire, mais .... je ne suis ni une femme, ni un elfe .... un jour elle m'expliquera, peut être.
Donc, comme je le disais, encore une journée de pêche joyeuse et riche en poissons, en même temps, j'ai envie de dire que les poissons, je les attrapes quand je veux.
Et oui, réfléchis mon gars, t'as déjà vus de l'eau au Hueco mundo ? Bah non, tu sais pourquoi ? Parce qu'il n'y en a pas .... Je rêve, encore une fois, je me suis
lamentablement endormis en écrivant dans mon carnet, les détails de ma journée. Un passe temps comme un autre sachant que le vieux Aizen ne m'avait toujours pas donné de "mission" .
"Irvin, lèves toi, quelqu'un t'appelles, lèves toi s'il te plais"
Encore un coup d'Eliela, elle venait d'apparaitre dans mon reve, a quelques pas seulement d'ou je pêchait, mais comment faisait elle ? Et qui pouvait bien m'appeler, moi, l'ancien number two a cette heure ci. Ah oui .... c'est vrai qu'au pays du sable l'heure n'existe pas .... pas cool .....

J me réveilla avec peine, retrouvant la "chambre" qui convenait a mon grade c'est a dire moins que rien plus important qu'un arrancar. une chambre si petite que c'est a peine si le lit et le bureau rentraient ensemble sans bloquer la porte de sortie, génial !
J'ouvrit un oeil, puis deux puis ... non je n'en a que deux je crois. Afin de vérifier, je tata mon visage rapidement, confirmant que je n'avait bien que deux yeux.
Quand je fus enfin sur pied, enfin c'est un bien grand mot pour ce qui veux réellement dire :" assis sur mon lit", je décida d'aller voir une quelquonc personnes afin de trouver du travail, enfin .... un boulot sur terre quoi . Je prit le paquet de cigarette qui passait sa vie dans la poche de ma chemise préfère, mis une clopinette a mon bec, ooooh, ça rime .... et l'alluma quand soudain, une terrible chose se produisit. Les yeux complètement sortit leurs orbites, je regardait le paquet, c'etait ma dernière cigarette et a Las Noches, je ne penses pas qu'ils avaient intégrée un bar/tabac pour satisfaire ma personne. La seul solution, allé sur terre, et pour cela, jetait prêt a tout ...

Je prit mon courage a deux mains, et me leva de mon lit, je fis trois pas et déjà, la terrible maladie dont je suis atteint refaisait surface : la flemme. Mais quand je sentit l'odeur de mon delicieu tabac entrer dans mes veines, la détermination reprit le dessus et je partie en courant dans les couloirs de Las Noches a la recherche du trone afin de voir Aizen en personne.
Encore une fois, après quelques minutes, je me perdis, me retrouvant surement a l'opposée de mon but et cherchant un quelquonc point de repère. Quand enfin je trouvit une porte qui ressemblait a celle du trône, je me précipita vers elle et, ayant prit une bonne bouffé d'air avant, j'entra dans cette somptueuse pièce.
Je fis quelques courbettes et m'avança tete baissé, ne voulant pas croisé le regarde du futur maitre du monde et quand enfin je décida de le faire, une masse difforme qui semblait être un vieux appararut devant moi.
Pouah ... Un vieux, moi qui cherchait Aizen, il ne manquais plus que ça. Quand je pensais a la cigarette toujours pas finis, qui trônait dans ma bouche, je fus pri de panique et me retourna violemment, tournant le dos au papy.
Un vieux et six p'tit gars, bizarre l'endroit. je me retourna une seconde fois afin de lui faire face et le fixa dans le yeux, sans vraiment le détailler, je lui lança sechement

- Hey toi, le vioc la sur son trône ! Tu sais pas ou j'peux trouver le boss ? Mais au faite, t'es qui toi ?

la conversation avait été lancé, je faisais part de mon tact habituel mais la, je sentais que ca n'allait pas être pareil que d'habitude.

Invité

Ce jour-là avait commencé comme n'importe quelle journée. Barragan s'était réveillé très tôt, alors qu'aucun bruit ne filtrait dans les couloirs de Las Noches. Son regard s'était alors posé sur ce qui l'entourait. Dans un coin sombre de la vaste salle qui faisait office de quartiers pour la Secunda Espada, une silhouette se dessinait contre les murs, démontrant que la personne concernée mesurait une taille imposante. De temps en temps, quelques petits bruits de respiration s'élevaient en provenance de l'individu, informant quiconque le verrait ainsi avachi qu'il était simplement endormi. Poww s'offrait un peu de repos bien mérité en attendant que son maître ne se réveille.

Ce dernier porta alors son regard vers un autre endroit de la pièce où étaient avachis l'un sur l'autre deux autres arrancars appartenant à sa fraccion. Le premier, allongé sur le dos et s'étalant de tout son être sur le sol, ronflait comme un bienheureux. Son ventre volumineux servait d'oreiller pour son compère, un amérindien qui ne pouvait s'empêcher de bouger dans tous les sens durant son sommeil, comme s'il affrontait une horde d'adversaires qui hantaient ses songes. Cependant, Nirgge ne semblait absolument pas dérangé par l'agitation qui avait lieu sur son ventre, tandis qu'Abirama ne donnait guère l'impression de se rendre compte que son compère expirait par le nez comme une locomotive.

Ne faisant nullement attention à ces deux énergumènes, Barragan posa son oeil valide sur deux autres silhouettes qui se prélassaient dans les bras de Morphée, sans pour autant être collées l'une à l'autre. Chacun d'entre eux se tenait assis contre un mur, le dos bien droit, et seuls leurs yeux fermés et les mouvements de leur poitrine démontraient qu'ils étaient dans le même état que leurs compagnons. L'un mesurait une grande taille, arborait une longue chevelure et un sourire étrange sur ses lèvres, comme s'il rêvait de quelque chose qui lui plaisait énormément. Le second, quant à lui, ne montrait pas la moindre expression sur son visage entièrement masqué. Ses longs cheveux tombaient dans son dos, comme son compagnon qui dormait à ses côtés. Charlotte et Findolu se trouvaient donc là.

Alors que la Secunda se demandait où se trouvait son dernier fraccion, Bega'ggio, du mouvement sur sa droite lui donna la réponse. Le petit bonhomme androgyne au masque de tigre à dents de sabre venait de se réveiller – il suffisait de voir sa démarche encore un peu pâteuse pour le comprendre – et s'approchait de son maître. Ce dernier ne fit pas un geste, ni ne dit le moindre mot lorsque son serviteur le salua et affirma espérer que le vieil homme ait bien dormi. Un simple "mmm" suffit à faire comprendre que la sieste avait été agréable. Le membre de l'Espada s'était alors levé de son trône et avait fait quelques pas vers la sortie de la pièce, tandis que son fraccion s'apprêtait à réveiller ses camarades. Mais un simple regard à son maître qui secoua la tête en signe de dénégation stoppa le Numéro dans son élan. Bega'ggio se détourna de sa préoccupation sans poser de question – après tout, si son maître décidait ainsi, pourquoi chercherait-on à discuter ses ordres ? - et se mit en marche pour suivre le vétéran qui quittait ses quartiers.

Barragan n'y prêta guère attention, marchant tranquillement dans les couloirs. Tous les matins, il aimait faire quelques pas dans le palais, pour être en forme et chasser les derniers songes de la nuit passée. Ce jour-là ne devait donc pas faire exception. Pourquoi en aurait-il été autrement de toute façon ? Aucune raison. Parfaitement. De ce fait, le vieil homme entama sa ballade. Son unique oeil valide se délectait de ce qui l'entourait, de tout ce blanc présent sur les murs, et à même le sol. Un regard droit devant lui l'informa qu'il arrivait au bout du couloir qui reliait ses quartiers à un endroit qui semblait tellement différent de tout ce qu'on pouvait trouver au Hueco Mundo. Le dénommé Luisenbarn ne prêta pas attention aux six silhouettes qui jaillirent soudain vers la porte pour ouvrir la marche à leur maître. Tout le monde était donc réveillé. Mais cela l'importait peu. Le membre de l'Espada franchit alors le passage qui le conduisit sous un ciel bleu.

Dehors, un petit vent frais soufflait, caressant le visage du vieillard. C'était agréable, et changeait de l'enfermement constant. Un peu de marche au grand air revigorait l'ancêtre et semblait avoir le même effet sur ses suivants, au vu de l'expression apaisée qui se lisait sur leur visage. Barragan inspira une grande bouffée de ce vent frais puis l'expulsa par bribes, dans un souffle. Durant une bonne heure, le petit groupe resta là, immobile, à apprécier les conditions climatiques. C'était comme un rituel quotidien. Chaque jour, toute la petite équipe venait se revigorer l'esprit après être resté trop longtemps à l'intérieur. Puis, lorsque le vieil homme en avait assez, ils quittaient tous ce lieu par la sortie opposée à celle par laquelle ils étaient arrivés.

Ainsi, après que ses fraccion aient ouvert la seconde porte, Barragan s'y engouffra et continua sa promenade au sein de Las Noches. Arpentant les couloirs en silence, la petite compagnie suivait son chemin sans un mot. Et tandis que le vétéran regardait droit devant lui, ses camarades jetaient des regards à droite et à gauche, pour surveiller la voie au cas où quelqu'un surgirait soudain avec des intentions stupides. Ils croisèrent bien quelques personnes, mais n'y prêtèrent nullement attention, ne s'arrêtant sous aucun prétexte. Si bien qu'au bout d'un long moment, ils parvinrent enfin au bout de leur parcours, à savoir qu'ils furent de retour dans leurs quartiers. Le vieil homme reprit place sur son trône tandis que les autres vaquaient à leurs occupations dans la grande salle.

Mais soudain, quelque chose se passa. Un bruit sourd attira l'attention de chacun en provenance de la porte qui s'ouvrit d'un coup, dévoilant la silhouette d'un arrancar que nul ne semblait connaître dans le groupe. Mais qui pouvait bien être ce freluquet ? Le vétéran n'apprécia pas vraiment qu'un inconnu se faufile dans ses quartiers. mais que cet individu débarque en fumant et répande la mauvaise odeur du tabac dans son antre, c'était plus qu'il ne pouvait accepter. Désappointé, le membre de l'Espada serra les bords de son fauteuil si fort qu'il en fit éclater une partie. Ce fut comme un signal d'alarme pour ses Fraccion qui s'apprêtèrent à s'en prendre à l'intrus quand ce dernier s'avança comme si de rien n'était et accosta le vieil homme.

" Hey toi, le vioc là sur son trône ! "

C'était donc à lui que ce morveux s'adressait ? Et de quelle manière en plus ? Les gosses n'avaient plus aucun respect pour leurs aînés. Déplorable. Un vulgaire gamin s'aventurait chez lui et l'abordait d'une manière totalement irrespectueuse ? Mais la suite ne fut guère mieux lorsqu'il lui demanda où il pouvait trouver le Boss et, pour finir, à la plus grande surprise de l'interpellé et de ses hommes, il lui demandait... Quoi ? Non mais, c'était une blague, n'est-ce pas ? Lui demander, à LUI, qui il était ? Le concerné ne fit même pas un geste ni ne dit le moindre mot. Il savait ce qui allait suivre. Ses fraccion s'insurgèrent d'un tel manque de respect et prirent la parole l'un après l'autre. Ce fut Poww qui s'adressa à l'inconnu, le toisant de toute sa hauteur, sans pour autant employer la moindre agressivité dans sa voix.

" Comment peux-tu ignorer une telle chose ? Il semblerait que tu sois bien plus pitoyable que ce que nous pensions de prime abord... "

Abirama, quant à lui, fit preuve d'une grande agressivité, comme à son habitude. Il ne s'en prit pas physiquement à l'intrus, mais plutôt oralement, hurlant toute sa verve, à grands renforts de gestes grandiloquents.

" Et d'ailleurs, qui est tu, TOI ? Tu te permets d'entrer dans les quartiers de Sa Majesté sans soucis, tu t'adresses à lui d'une manière irrespectueuse, et en plus tu prétends ne pas connaître son nom ? A d'autres ! "

Il avait presque hurlé ses derniers mots, à force de monter d'un ton au fur et à mesure qu'il s'exprimait et laissait éclater sa colère. Mais une main posée sur son épaule par Findolu le calma, tandis que ce dernier s'avançait à son tour.

" Qui que tu sois, tu as donné une bien mauvaise impression à notre maître. Tu n'es pas le bienvenue ici. Il serait sage de ta part de t'en aller rapidement... "

Avant qu'un autre de ses fraccion ne reparte dans un grand discours, Barragan décida d'intervenir. Il se leva, malgré les demandes de Bega'ggio, Nirgge et Charlotte qui affirmaient qu'ils pouvaient s'occuper de ce problème sans que leur supérieur n'ait à bouger le petit doigt. Marchant d'un pas lent vers l'impétueux gringalet, le vétéran s'arrêta à quelques pas de ce dernier.

" Tu es bien téméraire pour t'aventurer ici et te conduire de la sorte, morveux. Tu cherchais le Boss ? Il n'est pas ici. Cet endroit est mon domaine. Quant à savoir qui je suis... "

Il laissa sa phrase en suspens, et clama d'un coup d'une grande voix, une phrase simple mais néanmoins lourde de sens :

" Qui suis-je ? "

Ses fraccion répondirent du tac au tac, d'une voix toute aussi forte que celle de leur maître, et qui résonna dans la pièce :

" Votre Majesté, le Grand Barragan Luisenbarn ! "

Quand le silence fut retombé, le vieil homme toisa son interlocuteur avec un sourire en coin.

" Tu sais à présent qui je suis. Ajoute à cela le rang de Secunda Espada, et tu connais mon identité. Mais toi, qui es tu ? Et plus important encore... Que comptes-tu faire à présent ? "

Tout avait été dit d'une voix grave, rude, dénuée de toute bienveillance et laissant planer une menace silencieuse...

Invité

Âpres que j'eus parler, disons .... normalement, les six personnes présente et qui avaient l'air d'être les fraccion du vieux, se rapprochèrent de ma sublime personne et commencèrent a crier et a m'insulter. Quoi ? Qu'est ce que j'ai fais ? je ne comprenais pas du tout pourquoi ils etaient prit d'une tel rage. Ah oui .... ils avaient pas du aimé que je l'appel le vioc, j'vais donc lui trouver un autre p'tit surnom affectif mais avant, je me devait de regarder se qui se passait devant moi.
Un des fraccion de l'homme assez imposant qui avait l'air d'un rois s'approcha de moi et commença a me parler, il etait grand, même très grands, plusieurs têtes en plus que mo mais il faut bien avouer que je ne suis pas bien grand pour mon age. Qu'est ce qu'il disait ? Euh .... j'écoutais pas trop mais dans l'ensemble il me traitait d'abrutis finit car je ne savait pas qui etait son maitre. Bah quoi ? Pas de ma faute si je connais personne dans ce trou paumé ....

Un deuxième fraccion s'avança, celui ci avait une sorte de casque rebiquant sur son front comme un bec d'oiseau. Il commença a me crier dessus mais je n'écoutait pas encore une fois, ce personnage ne m'intéressait pas et je détourna la tête quand il me cria dessus. La seul chose que j'entendis, c'est qu'il me demandais qui j'etais, moi ? Pffff .... Il est blasant ce gars ....

Un troisième gars pausa la main sur l'épaule du précédant pour l'arrêter, comme si il m'en voulait physiquement, quel ingrat .... Son visage etait entièrement masqué, lui donnant un air mysterieu, le genre de gars qui croit qu'il a trop la classe alors qu'en réalité ....... Il parla lui aussi et pour la première fois depuis le début de la "discutions" j'ecoutais ses paroles.

" Qui que tu sois, tu
as donné une bien mauvaise impression à notre maître. Tu n'es pas le
bienvenue ici. Il serait sage de ta part de t'en aller rapidement... "

Décidément, je n'aimait pas ces p'tits gars. Partir, mais oui bien sur. parler de cette façons a l'ancien number two était tellement osé, que j'en fit un petit sourir moqueur, c'est vrai qu'ils ne savaient pas qui jetaient, mais a lui, je ne lui pardonnerais pas qu'il me dégage avec aussi peu de tact.

J'allais intervenir quand le sorte de roi intervint, il se mit entre moi et ses fraccions et s'approcha, de plus en plus jusqu'a etre si pres qu'il aurait pus me toucher avec son nez. nan je rigole, il étaient a deux mètres a vu de nez (notez le jeux de mots) et me regardais fixement. Je pouvais ainsi voir les nombreuses cicatrice sur son visage et je fus surpris de remarquer qu'il n'avait qu'un oeil valide. Le pauvre .... vieu et borgne ....
Il commença enfin a me parler, me traitant d'ingrat, et m'indiqua que je n'etait pas chez le boss. Ouais, ca a la limite je l'aurais trouver tous seul ... mais chez le boss c'est ou ?
Enfin, je sus qui etait ce vieux rois, quand il le demanda, ses six petits chienchiens répondirent en coeur et joyeusement son nom : Barragan Luisenbarn.
Encore ca, ca allait, un nom bizarre pour un gars des plus bizarre mais quand il ajouta a cela le fait qu'il etait number two, l'actuelle number two, un gigantesque sourire apparut sur mon visage, j'etait, disons, heureux.

Mais je me souvins d'une chose, le fraccion qui m'avait outré, je devais lui faire comprendre que moi, je ne suis pas n'importe qui. Je fit un petit signe de la main a ce Barragan, lui faisant comprendre que je revenais et j'utilisa un shunpo de niveau moyen pour me retrouver dans le dos de mon fraccion préféré, en profitant pour lui assener un coup de pied dans le mollet assez violent pour lui faire poser un genou a terre. Je le regardait, de dos et j'etais tres amusé par la situation, je prit entre mes doigts la cigarettes qui était quasiment finit et je l'écrasa sadiquement sur le cou du jeune imbécile. A peine avait il gémit a cause de la brulure que je me retrouvait une nouvelle fois devant le rois. Je souris une nouvelle fois et commença a parler.

- Alors comme ca, tu es le number two ? Mouahahahah, tres amusant. Tu m'as l'air d'un vétéran, tu mérites surement cette place et je t'en félicites. excuses moi pour l'indélicatesse dont j'ai fais preuve il y a quelques minutes. Excuses aussi le fait que j'ai corrigé ton fraccion mais je n'aime pas ca .

Mais en y repensant, j'aurais du corrigé les six .... tant pit, le mal est fait comme on dit. Toujours aussi amusé, fit un nouveau sourire et regarda Barragan, je regarda aussi ses six fraccion qui etaient plus que sur les nerfs et je décida donc de lâcher mon reiatsu afin de leur montrer qui j'etais. Bien qu'il etait puissant, c'etait une energie douce et pacifique, il n'avait rien d'aggresif et n'oppressait pas les plus faibles que moi. Je continua a regarder le veterant et je lui tourna le dos, lui montrant de la mains droite, mon mollet ou il y avait de tatoué, le numeros 102, signe de ma puissance et de ma faiblesse.

- Je me présente, Irvin Syna, ancien number two, rois de la pêche et poète a mes heures. je suis le privaron espada 102 et aussi le plus puissant de mon groupe, oui, mon supérieur n'es pas la pour le moment .... J'en profite donc.

Et je me mit a rire, si seulement il m'entendait ....

- Encore une fois excuses moi, mais, saurais tu n'emmener chez Aizen ?

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