Il était une fois un boxeur et une Quincy [PV Seika-chan]

Invité

Il faisait beau sur Karakura, et ma soeur m'avait appellé ce matin-là. Elle avait décidé que je devais aller m'acheter de nouveaux vêtements, en lieu et place de mon sempiternel costume, ou de mon débardeur et mon jogging. Elle n'avait pas tort, car ma penderie semblait triste A L'EXTRÊME, d'être aussi peu remplie. Aussi, je décidais de l'écouter, pour cette fois, non mais attendez, vous croyez vraiment que je vais trouver une femme comme elle me le conseille depuis quelque temps?! Une femme m'empêcherait de mener à bien mon combat... à moins qu'elle ne mène le même, mais ça je demande à voir, une femme chasseuse de Hollows et d'Arrancar. Enfin bref, revenons à nos vêtements, je décidais donc de me rendre au centre commercial. J'enfilais mon costume classique, enfonçais mes Sereno Gloves dans mon sac, puis partais en courant, sans oublier de sauter quatre-à-quatre les marches de l'escalier, m'attirant un regard méchant de la concierge qui, comme à chaque fois que je partais, faisait style de balayer devant sa porte. Elle doit vraiment me trouver inquiétant, pour me suivre des yeux comme ça... A moins qu'elle ne soit amoureuse de moi.... Ce pourrait être bien en fait. Comme ça, je m'arrangerais pour qu'on puisse crier "A L'EXTRÊME!" quand on veut, et aussi s'entraîner à la boxe et briser une fenêtre sans devoir la repayer.

Je sortis dans les rues ensoleillées, et me mis à courir à travers la ville, sautant par-dessus les bancs, slalomant entre les vieilles dames et leurs chiens, ramassant les ballons des enfants. Tiens, j'avais faim... Je m'arrêtais devant un vendeur de frites, et lui commandais une frite au ketchup. Il me regarda bizarrement, et je lui expliquais que je ne devais pas manger trop d'aliments gras, pour éviter que mes muscles ne se changent en une graisse disgrâcieuse. Il me servit une barquette entière. Bon, il l'avait voulu... Je pris une frite, je l'avalais d'un trait, puis partis en courant, sous les cris du vendeur. Je lui tirais la langue, puis repris ma course, esquivant de justesse un poteau que j'avais failli ne pas voir, avec tout ça. Décidant que je m'ennuyais, je m'arrêtais devant une boutique de musique et y entrais. Je demandais au vendeur si je pouvais lui emprunter un MP3 le temps de ma virée au centre commercial. Il me regarda bizarrement, et me dis que tant que je le rapportais avant la fermeture, il n'y voyait pas d'inconvénients. Il me montra un ordinateur pour y mettre des chansons, et je m'installais. Je branchais le MP3, et j'y envoyais la chanson de L'EXTRÊME!:

LA CHANSON DE L'EXTRÊME!

J'enfonçais les écouteurs dans mes oreilles, puis me levais brusquement, jetant la chaise en arrière, le poing droit levé en hurlant "A L'EXTRÊME!". Je remerciais le vendeur, et partis en courant suivant le rythme. Régulièrement, je hurlais A L'EXTRÊME. Les gens me regardaient avec un air choqué, mais bon, je m'en fichais un peu. Mon objectif était en vue! Le grand centre commercial de Karakura. Je courus sur le parking, esquivant les voitures, puis j'entrai par les portes automatiques. Partout, des boutiques, des lumières, des restaurants et aussi plein d'autres choses! Bon, alors, trouver une boutique de vêtements... J'arpentais à grands pas les allées, et trouvais finalement mon objectif. J'entrais, une femme au téléphone me demanda:

Vendeuse: Je peux vous aider?
Ryohei: Non, je vous ai pas sonnée.

Ca, c'est ce qui m'énerve dans les magasins. Je regardais quelques t-shirts, deux trois pantalons... Hum celui-là était bien, oh tiens celui-ci aussi. J'achetais quatres t-shirts et trois pantalons, puis je m'approchais de la caisse, lorsqu'une femme attira mon regard. Elle était tout simplement magnifique. De stupeur, je lâchais les vêtements qui tombaient sur mes pieds. Hum, comment allais-je pouvoir l'aborder? J'espérais au fond de moi qu'elle embrassait ma cause... ah, elle embrassais aussi mon visage tiens, enfin, au fond de moi. Je secouais la tête, sortant de mes rêveries, et la scrutais attentivement.

[Terminé!]

Invité

Comme à son habitude, le réveil la levé tôt. Même le week-end, aller savoir pourquoi! Elle aimait ne pas se reveillé à onze heure et avoir toute sa matinée de foutue. Elle se réveilla donc au chant du réveil à six heures trente. Le temps de s'étirer et de bailler bruyamment dans sa maison, seule, elle se leva pour se diriger vers la fenêtre où le soleil illuminé déjà la pièce. Elle esquissa un sourire satisfait en entendant la mélodie des oiseaux non loin qui venaient réclamer leur pitance. Sans attendre d'avantage, Seika prit sur l'étagère en bas de sa table de chevet un sac. Elle plongea la main dedans et la ressortir, lançant sur le toit les quelques graines qui s'étalèrent non loin des oiseaux, qui commencèrent leur repas.

Cette tâche accomplie, la jeune blonde put passer la porte pour se diriger dans sa cuisine modeste. Elle se fit chauffer un petit lait qu'elle but en compagnie de quelques biscotte neutre. Une fois que se fut fait, elle prit quelques affaires de rechange dans son meuble et horreur! Il ne lui restait plus que six paires de talons et vingt tailleurs . Elle referma énervée l'armoire et sauta dans un bon bain, il fallait faire vite! Après avoir savouré l'odeur parfumée de son bain aux savons de toutes saveurs, elle s'habilla d'une jupe qui laisser voir ses fines jambes et d'un haut moulant mais pas provocateur « A L'EXTREME »^^. Finalement, elle regarda le Sceptre, son arme de Quincy et la prit fermement. Elle murmura quelques mots et l'arme se volatilisa dans son collier de Quincy. Enfin, elle posa sur sa tête ses fines oreilles de félin, qui faisait son charme unique!

Elle sortit enfin de la maison, se dirigeant vers l'arrêt de bus le plus proche sous le soleil éclatant qui brulait tout sur son passage. Elle n'eut guère de temps à attendre. A l'intérieur du bus, un homme ne cesser d'éternuer, lui balançant ses projections bactériennes sans scrupules. Seika grimaça avant de changer de place.

«BOUHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH »

BAAAM! Le pauvre enfant qui avait voulu lui faire peur se retrouver avec son poings entre les deux yeux. Il fut trop choqué pour comprendre quoi que se soit...Sous le regard choqué de plusieurs personnes, la jeune blonde préféra continuer à pieds. Elle soupira.

*Je suis stupide..Il a sans doute raison, je suis trop parano...En même temps, qui ne le serait pas s'il devait combattre les Hollow toute la journée? Non c'est tout à fait normal et...Buark, celui la a des chaussures vertes! Que c'est horrible! Je devrais peut être lui dire d'en acheté d'autre?..Hmmm..Non! C'est pas très poli..mais c'est tellement...horrible!*

Essayant de chasser cette erreur de mode de sa tête, Seika repartit direction le centre commercial, maintenant bien visible. Elle entra à l'intérieur et se dirigea tout de suite vers la boutique de vêtements. La vendeuse la regarda entrée en posant le téléphone sur sa base.

« Puis-je vous aider, madame? »
«-C'est MADEMOISELLE!...Et si j'avais besoin d'aide, ce n'est surement pas à une fille qui porte des basket avec un tailleur que je m'adresserais!»

Elle lui fit un grand sourire hypocrite avant d'aller chercher ses petites emplêttes. Qu'elle détestait les vendeuse collante en manque de chiffre d'affaire!..Elle se dirigea vers le bonheur même, et trouva son petit bonheur: tailleurs, robe, jupes, pantalons, hauts, sous vêtement! Tout entra dans deux paniers qu'elle glissait à présent jusqu'à la caisse ou un homme se tenait déjà! Très charmant, les mucles saillans au dessous d'un costume pas mal, elle doit l'avouer. En la voyant, l'homme lâcha ses vêtements, et la scrutait attentivement. Les sourcils de Seika se froncèrent

«- Je peux vous aidez peut être? Vous sembler légèrement désorienté!»

Elle fit un petit sourire moqueur avant de se baisser pour ramasser les vêtements du jeune homme. Elle fit bien attention à ne pas montrer ce qu'il y avait en dessous de la jupe!

Invité

Qu....qu....QUOI? La jeune femme remarqua que je la détaillais paticulièrement et, comble de la honte A L'EXTRÊME, elle me dit avec les sourcils froncés:

«- Je peux vous aidez peut être? Vous sembler légèrement désorienté!»

Puis, elle se baissa et commença à rassembler mes vêtements. Je lui demandai d'arrêter en agitant les mains, l'air gêné, puis les ramassai rapidement. Qu'allais-je bien pouvoir dire? Hum... cette chevelure d'un blond si pur... Et ces jambes fines et sveltes.. Et ces rondeurs pile là où il faut, à savoir en bas du dos et à la gorge... Sans oublier les oreilles de chat... Décidément, cette jeune femme était parfaite à mes yeux. Je pris une grande inspiration: j'allais parler. Je me voyais distinctement, sur un plongeoir au-dessus d'une piscine. Selon la façon dont j'allais m'exprimer, mon saut réussirait ou non. Je respirais à fond, et dit d'une voix grave, les femmes adorant ça d'après Boxe mag, :

Ryohei: Oui, mademoiselle, votre beauté m'a désorienté... Et il y a un point où vous pourriez m'aider:voudriez-vous me dire si cela vous intéresserait de déjeuner au restaurant avec moi, maintenant dans ce centre commercial?

Aussitôt, je pris conscience de mon erreur... Une si jolie jeune femme devait déja avoir un copain, voire même un mari! Réflexion faite non, puisqu'elle avait répondu un "Mademoiselle" retentissant à cette stupide vendeuse. De toue manière, aucune chance qu'elle n'accepte une sortie avec un rustre comme moi. Le saut se passait mal. Je me dégonflais petit-à-petit, finissant par n'être plus qu'une peau vide de tout os et organes..... Dans l'attente fatidique de sa réponse, mille questions se bousculaient dans ma tête: Etait-elle libre? Avais-je été trop directe? Quand bien même elle accepterait, ne prendrait-elle pas peur en apprenant que je chassais des monstres qu'elle ne voyait sûrement pas? Et je vous épargne les 997 autres... Lorsqu'enfin elle ouvrit la bouche pour parler, je restais suspendu à ses lèvres, sans même regarder la vendeuse qui nous observait du coin de l'oeil, tout en comptant le prix de mes achats...

[Désolé, c'est plus court que d'habitude, mais je voyais pas quoi dire de plus ^^"]

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